Comments Box SVG iconsUsed for the like, share, comment, and reaction icons

Après avoir accompli avec succès sa mission de volontariat en Service Civique avec CIEUX et l’Institut français d'Egypte, à l’École Saint-Vincent de Paul – Abou Al Derdar, Garance a franchi une nouvelle étape dans son parcours : elle a été recrutée comme professeure de français au Lycée français d’Alexandrie pour l’année scolaire 2024-2025.

Cette évolution témoigne de la qualité de son engagement, son sens de la transmission et la richesse des compétences développées durant sa mission. CIEUX adresse à Garance ses plus chaleureuses félicitations pour cette réussite, ainsi que pour la rédaction de son compte-rendu de mission, à la fois exhaustif, précis et inspirant. Bonne lecture ! ... Voir PlusVoir Moins
+

1 CommentairesComment on Facebook

***Le défi de l’empathie dans le conflit***

Une étude sur le déficit d’empathie entourant le conflit souligne que nombreux Palestiniens n’ont pas vu ou n’ont pas accès aux images ou récits des massacres perpétrés par le Hamas le 7 octobre. Malgré cela, certaines voix palestiniennes défient la tendance psychologique à refuser la souffrance de l’autre. Des activistes comme Ahmed Fouad Alkhatib reconnaissent publiquement la douleur israélienne, tout en étant confrontés à des menaces et à des accusations de trahison.Une dynamique similaire de déficit d’empathie touche aussi la société israélienne, où de nombreux citoyens n'ont pas accès — ou refusent d’accorder de la légitimité — aux images et récits de la souffrance palestinienne à Gaza depuis le 7 octobre. Pourtant, certaines voix israéliennes osent briser cette indifférence. Des figures comme Rami Elhanan, dont la fille a été tuée dans un attentat palestinien, s'engagent publiquement pour reconnaître la douleur des familles palestiniennes, appelant à une humanisation réciproque du conflit. Ces voix courageuses, souvent marginalisées ou accusées de naïveté voire de trahison, rappellent que l’empathie n’est pas une faiblesse, mais un acte de résistance face à la haine.Depuis 2025, un nombre croissant de médias, personnalités publiques, artistes et citoyens israéliens reconnaissent la catastrophe humanitaire à Gaza, notamment la famine et le nombre de civils morts. Cette prise de conscience marque un tournant dans le discours national brisant en partie le silence ou le déni précédent.Ksenia Svetlova est une journaliste, chercheuse en politiques publiques et ancienne parlementaire israélienne. Elle est également associate professor à l’Université hébraïque de Jérusalem et affiliée à l’Atlantic Council. Elle a exercé en tant que députée (membre de la Knesset) pour les partis Zionist Union (2015–2019) puis Hatnua (2019). Elle est née en 1977 à Moscou et a immigré en Israël à l’âge de 14 ans. Elle détient une formation en histoire islamique et du Moyen-Orient (licence et master à l’Université hébraïque de Jérusalem), et était, en 2015, doctorante à l'Université Bar-Ilan. Elle a travaillé comme journaliste pour divers médias israéliens et internationaux, notamment The Jerusalem Post, The Jerusalem Report, Haaretz et la BBC en russe. Politiquement, elle a appartenu aux partis plutôt centristes et modérés de la scène israélienne (Zionist Union et Hatnua). Elle défend des positions progressistes sur les questions religieuses, le pluralisme, les droits civiques et la paix. Elle s’est notamment engagée contre le racisme, pour l’égalité, et pour la réforme religieuse (par ex. en matière de divorce). The Jerusalem Strategic Tribune est une revue éditée par World Herald Tribune, Inc., installée à Washington, D.C., États-Unis.www.jstribune.com/svetlova-the-empathy-gap/?utm_source=chatgpt.com ... Voir PlusVoir Moins
***Le défi de l’empathie dans le conflit***

Une étude sur le déficit d’empathie entourant le conflit souligne que nombreux Palestiniens n’ont pas vu ou n’ont pas accès aux images ou récits des massacres perpétrés par le Hamas le 7 octobre. Malgré cela, certaines voix palestiniennes défient la tendance psychologique à refuser la souffrance de l’autre. Des activistes comme Ahmed Fouad Alkhatib reconnaissent publiquement la douleur israélienne, tout en étant confrontés à des menaces et à des accusations de trahison.

Une dynamique similaire de déficit d’empathie touche aussi la société israélienne, où de nombreux citoyens nont pas accès — ou refusent d’accorder de la légitimité — aux images et récits de la souffrance palestinienne à Gaza depuis le 7 octobre. Pourtant, certaines voix israéliennes osent briser cette indifférence. Des figures comme Rami Elhanan, dont la fille a été tuée dans un attentat palestinien, sengagent publiquement pour reconnaître la douleur des familles palestiniennes, appelant à une humanisation réciproque du conflit. 

Ces voix courageuses, souvent marginalisées ou accusées de naïveté voire de trahison, rappellent que l’empathie n’est pas une faiblesse, mais un acte de résistance face à la haine.
Depuis 2025, un nombre croissant de médias, personnalités publiques, artistes et citoyens israéliens reconnaissent la catastrophe humanitaire à Gaza, notamment la famine et le nombre de civils morts. Cette prise de conscience marque un tournant dans le discours national brisant en partie le silence ou le déni précédent.

Ksenia Svetlova est une journaliste, chercheuse en politiques publiques et ancienne parlementaire israélienne. Elle est également associate professor à l’Université hébraïque de Jérusalem et affiliée à l’Atlantic Council. Elle a exercé en tant que députée (membre de la Knesset) pour les partis Zionist Union (2015–2019) puis Hatnua (2019). Elle est née en 1977 à Moscou et a immigré en Israël à l’âge de 14 ans. Elle détient une formation en histoire islamique et du Moyen-Orient (licence et master à l’Université hébraïque de Jérusalem), et était, en 2015, doctorante à lUniversité Bar-Ilan. Elle a travaillé comme journaliste pour divers médias israéliens et internationaux, notamment The Jerusalem Post, The Jerusalem Report, Haaretz et la BBC en russe. Politiquement, elle a appartenu aux partis plutôt centristes et modérés de la scène israélienne (Zionist Union et Hatnua). Elle défend des positions progressistes sur les questions religieuses, le pluralisme, les droits civiques et la paix. Elle s’est notamment engagée contre le racisme, pour l’égalité, et pour la réforme religieuse (par ex. en matière de divorce). 

The Jerusalem Strategic Tribune est une revue éditée par World Herald Tribune, Inc., installée à Washington, D.C., États-Unis.

https://www.jstribune.com/svetlova-the-empathy-gap/?utm_source=chatgpt.com

1 CommentairesComment on Facebook

🎓 Un pont éducatif entre cultures et religions au cœur du Caire (Egypte).

Au Collège Saint Vincent de Paul El Helmiah, plus de 1 000 élèves, chrétiens-coptes et musulmans, grandissent et apprennent côte à côte, dans un esprit de respect mutuel et de dialogue.Les cours sont dispensés en français, et chaque semaine, les élèves approfondissent leur tradition spirituelle : enseignement du Christianisme pour les uns, de l’Islam pour les autres, toujours dans un climat d’écoute et d’ouverture.Cet établissement d’exception, habilité à préparer au Baccalauréat français, forme ainsi des générations capables de conjuguer excellence académique et compréhension interculturelle.Une belle illustration de l’éducation comme passerelle entre les cultures et les croyances, pour construire ensemble un avenir fondé sur la connaissance et le respect dans le cadre du Service Civique avec CIEUX et l'Institut français d'Egypte.Photo :De gauche à droite : Odile et Alexandre Vigne (association CIEUX), Gisèle Youssef Assal (Conseillère pédagogique, Coordinatrice du Bac français), Soeur Hanane et Soeur Marcelle, Co-directrices du Collège-Lycée Saint Vincent de Paul El Helmiah, le 15 juillet 2025. ... Voir PlusVoir Moins
🎓 Un pont éducatif entre cultures et religions au cœur du Caire (Egypte).

Au Collège Saint Vincent de Paul El Helmiah, plus de 1 000 élèves, chrétiens-coptes et musulmans, grandissent et apprennent côte à côte, dans un esprit de respect mutuel et de dialogue.

Les cours sont dispensés en français, et chaque semaine, les élèves approfondissent leur tradition spirituelle : enseignement du Christianisme pour les uns, de l’Islam pour les autres, toujours dans un climat d’écoute et d’ouverture.

Cet établissement d’exception, habilité à préparer au Baccalauréat français, forme ainsi des générations capables de conjuguer excellence académique et compréhension interculturelle.

Une belle illustration de l’éducation comme passerelle entre les cultures et les croyances, pour construire ensemble un avenir fondé sur la connaissance et le respect dans le cadre du Service Civique avec CIEUX et lInstitut français dEgypte.

Photo :
De gauche à droite : Odile et Alexandre Vigne (association CIEUX), Gisèle Youssef Assal (Conseillère pédagogique, Coordinatrice du Bac français), Soeur Hanane et Soeur Marcelle, Co-directrices du Collège-Lycée Saint Vincent de Paul El Helmiah, le 15 juillet 2025.

0 CommentairesComment on Facebook

Chaimé : "APRÈS ma mission de Service Civique avec CIEUX et l'Institut français d'Egypte au Caire" (vidéo précédente : "AVANT ma mission"). ... Voir PlusVoir Moins

0 CommentairesComment on Facebook

Chaimé : "AVANT ma mission de Service Civique avec CIEUX et l'Institut français d'Egypte au Caire" (vidéo suivante : "APRÈS ma mission"). ... Voir PlusVoir Moins

0 CommentairesComment on Facebook

Voir plus

EnglishGreekGermanTurkeyPortugalSpainJapanIsraelSaudi ArabiaSwedishFrenchItalyDutchKoreaChinaPolandCyprusCzechRussiaUSAMalaysiaSingaporeThailandDanishFinlandNorwayBrazilArgentinaIndiaRomaniaWalesIrelandHungarySlovakiaCanadaBulgariaEstoniaLatviaLithuaniaBelgiumHongkongDominician RepMoldovaBosniaSloveniaIcelandKlingonSerbiaEgyptCroatiaAustraliaAlgeriaIndonesiaUnited Arabic EmiratesEuropeCatalanIraqEsperadoUkraineSwitzerlandAlbaniaAzerbaijanBelarusCambodiaEthiopiaLibyaLuxembourgMexicoMoroccoPalestineTaiwanVietnamAustriaTunisiaPakistanMongoliaNew ZealandMyanmarNepalAfghanistanArubaGeorgiaHaitiKuwaitMaltaParaguayPeruSouth AfricaUzbekistanIran
0 Partages