V2017

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Florence, Léa et Marie, Volontaires en Service Civique avec CIEUX et l'IVA

(Israeli Volunteer Association), au Carmel Center de Haifa (Israël). ... Voir PlusVoir Moins

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Florence, Léa and Marie, volunteers of civic service with CIEUX and IVA (Israeli Volunteer Association), in Carmel Center of Haifa (Israel) - August 2017 - August 2018 ... Voir PlusVoir Moins

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355ème rencontre

Dimanche 8 janvier 2017

C.I.E.U.X de Paris 11ème – Notre Dame d’Espérance – 47 rue de la Roquette, 75011 Paris

Thème : La reconnaissance

Avec la participation de :

• François Vauglin, Maire de Paris 11ème

• Père Francis Barjot, Curé

• Serge Benhaïm, Président – Synagogue Abravanel

• Dr. Karim IFRAK, Islamologue – C.N.R.S – Paris

• Jacqueline Roy, Conseils de quartier du 11ème

• Alexandre Vigne, Directeur de CIEUX

Alexia, Volontaire en Service Civique au Liban avec CIEUX, créé par Alexandre Vigne, et Amel (Décembre 2016 – Décembre 2017).

Sa mission a été de participer au « Volontariat pour la mise en œuvre, le renforcement et le développement d’actions éducatives dans le contexte de la réponse d’urgence et de stabilisation à la crise syrienne ».

16 mars 2017

  • Introduction : Marcel Ojzerowicz, Président du CDMR
  • Intervention de Christian Lochon, Membre de l’Académie des Sciences d’Outre-Mer, Attaché culturel et de coopération technique à Khartoum et à Damas, puis Conseiller du Président de l’Institut du Monde Arabe à Paris.
  • présentation par Marcel Ojzerowic, Président du CDMR
  • Sensibilisation à la quête juste après le film : Alexandre Vigne, Directeur de CIEUX
  • Chorale Gospel : présentation par Alexandre Vigne, Directeur de CIEUX

16 mars 2017

  • Introduction : Marcel Ojzerowicz, Président du CDMR
  • Intervention de Christian Lochon, Membre de l’Académie des Sciences d’Outre-Mer, Attaché culturel et de coopération technique à Khartoum et à Damas, puis Conseiller du Président de l’Institut du Monde Arabe à Paris.
  • présentation par Marcel Ojzerowic, Président du CDMR
  • Sensibilisation à la quête juste après le film : Alexandre Vigne, Directeur de CIEUX
  • Chorale Gospel : présentation par Alexandre Vigne, Directeur de CIEUX

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

Jugeals-Nazareth, terre de mission civique Des quatre coins de France, 20 volontaires en Service Civique engagés avec CIEUX sont venus, les 16 et 17 août 2017 à Jugeals-Nazareth, vivre une rencontre mémorielle et se préparer à leur mission en Israël.

Depuis 2012, toutes les journées de formation préparatoire en Israël ont été organisées à Paris. Mais cette année, C.I.E.U.X. et l’IVA ont mis en œuvre une nouvelle mission dans les kibboutzim, les fermes agricoles collectives. Pour préparer les volontaires à leur mission dans les kibboutzim, Alexandre Vigne, le directeur de CIEUX, recherchait un lieu symbolique, un lieu de mémoire. Originaire de Cavagnac à la frontière du Lot et de la Corrèze, il est conduit à traverser Jugeals-Nazareth à chaque fois qu’il doit se rendre à Brive. S’il se souvenait d’avoir assisté à une messe de Noël à Jugeals-Nazareth il y a dix ans, il n’avait jamais entendu parler du kibboutz du village. Et pour cause : c’est l’année dernière qu’une plaque commémorative a été posée, à l’initiative des associations France-Israël et de Mémoires juives en Limousin. La rue qui longe l’ancienne ferme collective aujourd’hui en ruine, a été renommée « Passage du Kibboutz Makhar 1933 – 1935 ».

Gérard Bagnol, le Maire de Jugeals-Nazareth, a présidé la cérémonie le 5 juin 2016 au côté notamment des représentants de l’Ambassade d’Israël à Paris et des descendants des membres du kibboutz. Alexandre Vigne découvre un article de presse à ce sujet, alors qu’il préparait la nouvelle mission de CIEUX dans les kibboutzim. Il décide de rencontrer le Maire de Jugeals-Nazareth qui, intéressé, lui propose d’inviter au séminaire Jean-Michel Vaguelsy et de projeter son documentaire « Nazareth, terre promise en Corrèze ».

Marcher dans les pas des réfugiés

Grâce au documentaire de Jean-Michel Vaguelsy, les volontaires en Service Civique ont pu découvrir les visages des membres du kibboutz, de leurs descendants en Israël et de leur histoire : en 1933, fuyant l’arrivée d’Hitler au pouvoir, des juifs s’étaient réfugiés à Jugeals-Nazareth pour y fonder le kibboutz Makhar (qui signifie « demain » en hébreu). Brutalement chassés, ils rejoignirent la Palestine britannique en 1935 et s’installèrent dans un kibboutz. Dix ans plus tard, 6 millions des leurs furent exterminés en Europe.

Aujourd’hui, le kibboutz de Jugeals-Nazareth est en ruine. La délégation a visité le site et appris à cette occasion de la bouche de M. le Maire, qu’un promoteur des environs venait de l’acquérir pour y réaliser des appartements. Il n’en restera bientôt plus que la mémoire, celle que les volontaires sont chargés d’entretenir. Le séminaire leur a permis d’appréhender le kibboutz comme lieu de refuge, de sauvetage mais aussi de partage. Autant de valeurs d’accueil, de convivialité et de vivre-ensemble que les volontaires ont pu expérimenter tout au long du séminaire, y compris durant les repas où leur étaient servis des plats et des vins casher grâce aux bons du marché hypercasher offerts par des synagogues du Consistoire de Paris.

La formation a réuni les acteurs qui œuvrent à restaurer la mémoire du kibboutz de Jugeals-Nazareth : Josiane Sberro (France-Israël Paris), Jean-Michel Delpeuch (France-Israël Brive), André Orluc (Mémoires juives en Limouin) et Jean-Michel Vaguelsy, qui habite à Turenne, juste à côté de Jugeals-Nazareth. Ils ont rejoint Alexandre Vigne pour mieux promouvoir la mémoire du kibboutz et la quête de liberté de ceux qui y ont trouvé refuge.

La lutte contre l’antisémitisme, dont l’antisionisme en est l’une des expressions, est un enjeu capital. C’est pourquoi, le programme du séminaire a commencé par un atelier consacré à la reconnaissance des Etats les uns par les autres. Les volontaires ont pu analyser comment la France parle d’Israël dans ses médias, grâce à un moteur de recherche que développe CIEUX. Ce site-web sera lancé à l’automne et permettra de connaître l’actualité consacrée à chaque pays dans les autres pays.

De même, il ne pouvait être fait mémoire des juifs persécutés par Hitler, sans chercher à enseigner une culture de la paix. Les volontaires ont pu ainsi participer à un dialogue interreligieux et laïque, entre croyants et non croyants avec la participation du Maire Gérard Bagnol et de Hubert de Chergé. Ce dernier est venu en voisin, résidant à Saint-Michel de Bannières dont il a restauré l’église et apposé dans la nef, le testament de son frère Christian moine assassiné à Tibhirine en 1996.

Le bilan de la formation citoyenne est tout à fait positif, à en juger d’après les avis anonymes écrits par les volontaires.

Avant de partir de Jugeals-Nazareth, les participants et les volontaires ont souhaité qu’une nouvelle mission puisse voir le jour : au Kibboutz Ayelet Hashahar, où ont trouvé refuge en Israël les fondateurs du kibboutz Machar de Jugeals-Nazareth.

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