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Engagés avec CIEUX pour promouvoir la Francophonie au sein du réseau des Écoles de l'Institut français d’Égypte, les 22 volontaires en Service Civique font part de leur épanouissante expérience après 7 mois de mission au Caire et à Alexandrie !

Photos : visio-conférences - 25 et 26 mars 2024.
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Engagés avec CIEUX pour promouvoir la Francophonie au sein du réseau des Écoles de lInstitut français d’Égypte, les 22 volontaires en Service Civique font part de leur épanouissante expérience après 7 mois de mission au Caire et à Alexandrie !

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Clémence : mon volontariat avec CIEUX en Israël au Lycée Givat Haviva auprès d’élèves juifs, musulmans, druzes, chrétiens et Palestiniens.

« La guerre opposant Israël à la Palestine se poursuit hélas mais malgré tout, la vie reprend doucement sur le territoire Israélien. Le soleil nous dévoile chaque jour un peu plus de sa beauté, et la lune, brille chaque soir.

J'ai retrouvé le week-end du 24 mars Louise, volontaire française travaillant et vivant au kibbutz à Revivim, dans le désert au sud du pays.

Les kibbutzs de manière générale offrent un climat hors du temps, où l'égalité et le partage s'appliquent, et où cela fonctionne. Calme, paix et prospérité.

Nous avons passé des moments simples, et doux ; échangé autour d'interrogations, d'aspects culturels que l'on a du mal à saisir, mais surtout, nous avons ri ».
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Connue également sous le nom de "carnaval juif", la fête de Pourim
offre également l'opportunité de se costumer, une tradition qui rappelle le déguisement de la reine Esther pour cacher son identité à son mari.

Pourim est une journée où l'on défie les normes et où l'on célèbre la liberté pour commémorer la victoire du peuple sur ses oppresseurs.
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Connue également sous le nom de carnaval juif, la fête de Pourim 
offre également lopportunité de se costumer, une tradition qui rappelle le déguisement de la reine Esther pour cacher son identité à son mari.

Pourim est une journée où lon défie les normes et où lon célèbre la liberté pour commémorer la victoire du peuple sur ses oppresseurs.

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Louise – Mon volontariat en Israël avec CIEUX et le KPC (Kibboutz Program Center), après les attentats du 7 octobre 2023. Recueillement sur les lieux des attentats : Ofakim

"Le 18 janvier 2024 à 8h00 du matin nous sommes partis du kibboutz Revivim. Toute la journée a été programmé avec le responsable des volontaires. Nous avons prévu d’aller à Ofakim, à l’endroit où a eu lieu le Nova Festival et enfin au kibbutz Kfar Aza. Nous avions rendez-vous avec une femme à Ofakim.

Le trajet entre le Kibbutz Revivim et la ville d’Ofakim a duré moins de 40 minutes en voiture. Quand nous arrivons la ville est quasiment déserte mais on sent qu’il y a encore de la vie dans les bâtiments. Je reconnais les rues où j’avais vu les terroristes déambuler sur les réseaux sociaux le matin du 7 octobre.

Quand nous arrivons nous sommes accueillis dans une sorte de bunker aménagé avec une cuisine pour rencontrer Poli, une femme habitant à Ofakim et ayant survécut aux attaques du 7 octobre. Poli a un fils dans la vingtaine qui était au festival Nova ce même matin. Elle nous propose un thé et des gâteaux. Elle ne parle pas anglais et c’est notre responsable qui traduit.

Poli nous explique que Ofakim est une ville assez religieuse et qu’un des quartiers les plus touchés et le quartier orthodoxe. Son fils, quant à lui, était au festival. Elle l’avait appelé la veille car elle avait un mauvais pressentiment mais il n’avait pas voulu rentrer. Il a finalement réussi à s’enfuir avec deux de ses amis.

Le matin Poli a été réveillée par des tirs et des cris dans son quartier vers 6h00 du matin. Elle nous explique que les terroristes connaissaient la ville et ont donc réussi à bloquer les rues pour que les gens ne s’enfuient pas. Elle nous dit aussi que les terroristes sont rentrés dans plusieurs maisons de son voisinage et ont tués leurs habitants. La police n’était pas assez armée ni préparée pour les neutraliser. Certains ont tout de même réussi à abattre des terroristes mais l’on payé au prix de leur vie.

Après avoir fini la description de sa matinée heure par heure (où elle est restée chez elle bien évidemment) et l’angoisse de l’attente de nouvelles de son fils, elle nous propose de nous emmener dans les rues d’Ofakim. Là on découvre des maisons sans vitre et avec beaucoup d’impact de balles. Elle nous montre le quartier religieux et elle explique que plusieurs hommes de ce quartier se sont sacrifiés en essayant d’arrêter les terroristes.

Il y a des endroits de commémorations avec des fleurs et des photos pour ces personnes. Elle nous dirige vers une maison particulièrement endommagée et nous explique que c’est là qu’une vielle dame a servi du thé et à parler des heures durant avec les terroristes. Son fils faisait partie de la police d’Ofakim et grâce à cela son équipe a pu neutraliser les assaillants sans faire du mal à ses parents.

Nous allons ensuite vers une autre maison. Poli nous explique que sur le toit de cette maison une famille s’est cachée un jour entier pour ne pas se faire tuer. Le père est resté en bas pour retenir les terroristes et est décédé. Sur le chemin pour prendre la voiture et aller au festival de Nova, un homme nous arrête et explique en hébreu comment il a vécu cette matinée. Je ne comprends pas grand-chose à part qu’il est très agité quand il parle et qu’il doit prendre des médicaments pour dormir.

Selon Poli, il y aurait eu 54 morts à Ofakim. Notre responsable nous fera ensuite part de la théorie « Flee, Freeze, Fight ». Quand quelqu’un se retrouve face à la mort, soit il fuit, soit il ne bouge plus et reste sur place, soit il se bat. Ce n’est pas quelque chose qu’on contrôle et cela arrive instinctivement."
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Louise – Mon volontariat en Israël avec CIEUX et le KPC (Kibboutz Program Center), après les attentats du 7 octobre 2023. Recueillement sur les lieux des attentats : Ofakim

Le 18 janvier 2024 à 8h00 du matin nous sommes partis du kibboutz Revivim. Toute la journée a été programmé avec le responsable des volontaires. Nous avons prévu d’aller à Ofakim, à l’endroit où a eu lieu le Nova Festival et enfin au kibbutz Kfar Aza. Nous avions rendez-vous avec une femme à Ofakim. 

Le trajet entre le Kibbutz Revivim et la ville d’Ofakim a duré moins de 40 minutes en voiture. Quand nous arrivons la ville est quasiment déserte mais on sent qu’il y a encore de la vie dans les bâtiments. Je reconnais les rues où j’avais vu les terroristes déambuler sur les réseaux sociaux le matin du 7 octobre. 

Quand nous arrivons nous sommes accueillis dans une sorte de bunker aménagé avec une cuisine pour rencontrer Poli, une femme habitant à Ofakim et ayant survécut aux attaques du 7 octobre. Poli a un fils dans la vingtaine qui était au festival Nova ce même matin. Elle nous propose un thé et des gâteaux. Elle ne parle pas anglais et c’est notre responsable qui traduit. 

Poli nous explique que Ofakim est une ville assez religieuse et qu’un des quartiers les plus touchés et le quartier orthodoxe. Son fils, quant à lui, était au festival. Elle l’avait appelé la veille car elle avait un mauvais pressentiment mais il n’avait pas voulu rentrer. Il a finalement réussi à s’enfuir avec deux de ses amis. 

Le matin Poli a été réveillée par des tirs et des cris dans son quartier vers 6h00 du matin. Elle nous explique que les terroristes connaissaient la ville et ont donc réussi à bloquer les rues pour que les gens ne s’enfuient pas. Elle nous dit aussi que les terroristes sont rentrés dans plusieurs maisons de son voisinage et ont tués leurs habitants. La police n’était pas assez armée ni préparée pour les neutraliser. Certains ont tout de même réussi à abattre des terroristes mais l’on payé au prix de leur vie. 

Après avoir fini la description de sa matinée heure par heure (où elle est restée chez elle bien évidemment) et l’angoisse de l’attente de nouvelles de son fils, elle nous propose de nous emmener dans les rues d’Ofakim. Là on découvre des maisons sans vitre et avec beaucoup d’impact de balles. Elle nous montre le quartier religieux et elle explique que plusieurs hommes de ce quartier se sont sacrifiés en essayant d’arrêter les terroristes.

Il y a des endroits de commémorations avec des fleurs et des photos pour ces personnes. Elle nous dirige vers une maison particulièrement endommagée et nous explique que c’est là qu’une vielle dame a servi du thé et à parler des heures durant avec les terroristes. Son fils faisait partie de la police d’Ofakim et grâce à cela son équipe a pu neutraliser les assaillants sans faire du mal à ses parents. 

Nous allons ensuite vers une autre maison. Poli nous explique que sur le toit de cette maison une famille s’est cachée un jour entier pour ne pas se faire tuer. Le père est resté en bas pour retenir les terroristes et est décédé. Sur le chemin pour prendre la voiture et aller au festival de Nova, un homme nous arrête et explique en hébreu comment il a vécu cette matinée. Je ne comprends pas grand-chose à part qu’il est très agité quand il parle et qu’il doit prendre des médicaments pour dormir. 

Selon Poli, il y aurait eu 54 morts à Ofakim. Notre responsable nous fera ensuite part de la théorie « Flee, Freeze, Fight ». Quand quelqu’un se retrouve face à la mort, soit il fuit, soit il ne bouge plus et reste sur place, soit il se bat. Ce n’est pas quelque chose qu’on contrôle et cela arrive instinctivement.Image attachment

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Chers amis baha'is,

Après un jeûne de 19 jours, en ce 19ème et dernier mois de votre calendrier, vous célébrez le nouvel an et le premier jour du printemps.

Que la nouvelle année baha'ie vous apporte santé, paix, amour, bonheur, prospérité, joie et grande fraternité !
Très belle fête de Naw-Ruz à toutes et à tous !

Serge Benhaïm,
Président de CIEUX
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Chers amis bahais,

Après un jeûne de 19 jours, en ce 19ème et dernier mois de votre calendrier, vous célébrez le nouvel an et le premier jour du printemps.

Que la nouvelle année bahaie vous apporte santé, paix, amour,  bonheur, prospérité, joie et grande fraternité !
Très belle fête de Naw-Ruz à toutes et à tous !

Serge Benhaïm,
Président de CIEUX

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Amen merci président

Marie : mon Service Civique avec CIEUX et l'Institut français d’Égypte ! ... Voir PlusVoir Moins

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Les préjugés racistes et antisémites dans le monde

CIEUX organise dans le cadre de la Semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme (DILCRAH 2024), un atelier cyber citoyen au Collège public Jean-François Oeben (Paris 12ème).

Le vendredi 22 mars de 10h à 11h, la professeure de français et un intervenant de CIEUX, débattre sur le thème : les préjugés et racistes, antisémites dans le monde.
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Les préjugés racistes et antisémites dans le monde

CIEUX organise dans le cadre de la Semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme (DILCRAH 2024), un atelier cyber citoyen au Collège public Jean-François Oeben (Paris 12ème).

Le vendredi 22 mars de 10h à 11h, la professeure de français et un intervenant de CIEUX, débattre sur le thème : les préjugés et racistes, antisémites dans le monde.Image attachment

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Louise – Mon volontariat en Israël avec CIEUX et le KPC (Kibboutz Program Center), après les attentats du 7 octobre 2023. Recueillement sur les lieux des attentats : Kfar Aza.

« Juste avant d’arriver à Kfar Aza nous nous arrêtons sur une aire d’autoroute. Il n’y a presque que des soldats qui achètent à manger et à boire. Nous devons attendre le guide sur cette aire. Le guide en question a répondu le matin-même à notre responsable. S’il ne répondait pas, nous n’aurions pas pu rentrer dans le kibbutz de Kfar Aza.

Il y a beaucoup de chose que je n’ai pas compris dans l’organisation car je pense que les « visites » se font de manière spontanée. Il y a, d’après ce que j’ai compris, peu de personne qui peuvent venir, il ne peut pas faire rentrer trop de personne en même temps. Il nous dira par la suite qu’ils ne veulent que ce kibbutz devienne un « nouvel Auschwitz ».

D’autres personnes qui ne sont pas des soldats sortent de leur voiture. Je comprends que l’aire d’autoroute est le point de rendez-vous. Le guide arrive et nous reprenons la voiture pour le suivre.

Cinq minutes plus tard, nous entrons par un portail qui ressemble à celui de Revivim, nous sommes dans le kibbutz. Nous sortons de la voiture et le kibbutz Kfar Aza me semble plus verdoyant que Revivim. Il y a plus de plantes et ça ressemble moins au désert que je connais, sans doute car la mer n’est pas loin.

Nous entourons le guide et notre responsable se place à côté de moi pour traduire (tout le monde dans le groupe à une double nationalité ou est au moins israélien, ils parlent hébreux) ».
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A l'occasion du projet de loi sur la fin de vie, CIEUX publie pour la première fois la vidéo de la rencontre présidée par notre si regretté ami Boubacar Conté, Président de la mosquée Nour (Paris 12ème).

Thème : « La fin de vie. Comment l’accompagner ? ». Dimanche 23 octobre 2022

Intervenants

• Sayfouallah Koffi Agodjro
• Pasteur Guillaume
• Antony Boussemart
• Père Joseph Clochard
• Boubacar Conté
• Père Arnaud Duban
• Dani David Koskas
• Yann Maubras
• Naima Moghir
• Hamdam Nadafi
• Isabelle Veillet

Modérateur
• Alexandre Vigne, Danielle Ferra - CIEUX

Avec la participation de :

o Mosquée Nour
o Eglise protestante évangélique du 12ème
o Union Bouddhiste de France
o Doyenné catholique du 12e
o Synagogue Chivtei Israël
o Scout juif
o Baha’is du 12ème
o Association Islam Salam
o Foyer de l'Âme – Eglise Protestante Unie de France
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